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DESCRIPTIONS

Il faut prévenir les hommes qu'ils sont en danger de mort - la science devient criminelle !...
Albert Einstein

Entre cet 'avertissement' et la 'constatation' suivante - se trouve le fond du problème.


L' ENFER c'est les AUTRES !...

Jean Paul Sartre

Quand aux trop nombreux 'sceptiques' qui paralysent toute démarche 'libératrice' - sachez que le peu que je sais_ c'est à mon ignorance que je le dois !..

Du confinement au « Grand Reset

 

Le confinement, lié à la pandémie de coronavirus, a accéléré la mise en œuvre de plans de longue date visant à établir un « nouvel ordre mondial ». Sous les auspices du Forum économique mondial (WEF), les décideurs politiques mondiaux plaident en faveur d’un « Grand Reset » dans le but de créer une technocratie mondiale. Ce n’est pas par hasard que le 18 octobre 2019, à New York, le WEF a participé à l’« Event 201 » lors de l’exercice de pandémie « de haut niveau » organisé par le Centre John Hopkins pour la sécurité sanitaire.

 Cette technocratie à venir implique une coopération étroite entre les responsables de l’industrie numérique et des gouvernements. Avec des programmes tels que le revenu minimum garanti et les soins de santé pour tous, le nouveau type de gouvernance combine un contrôle sociétal strict avec la promesse d’une justice sociale complète.

La vérité, cependant, est que ce nouvel ordre mondial de tyrannie numérique s’accompagne d’un système de crédit social complet. La République populaire de Chine est le pionnier de cette méthode de surveillance et de contrôle des individus, des entreprises et des entités sociopolitiques.

Pour l’individu, son identité est réduite à une application ou une puce qui enregistre presque toute son activité personnelle. Afin d’obtenir quelques droits individuels, et ne serait-ce que pour se rendre dans un certain lieu, une personne doit trouver un équilibre entre ces privilèges apparents et sa soumission à un ensemble de règlements qui définissent en détail ce qui constitue un « bon comportement » et est considéré comme bénéfique pour l’humanité et l’environnement. Par exemple, lors d’une pandémie, ce type de contrôle s’étendrait de l’obligation de porter un masque et de pratiquer la distanciation sociale à celle d’avoir des vaccinations spécifiques afin de postuler à un emploi ou de voyager.

Il s’agit, en somme, d’une sorte d’ingénierie sociale qui est à l’opposé d’un ordre spontané ou d’un développement. Comme l’ingénieur mécanicien avec une machine, l’ingénieur social – ou technocrate – traite la société comme un objet. À la différence des éliminations brutales du totalitarisme d’autrefois, l’ingénieur social moderne va essayer de faire fonctionner la machine sociale par elle-même, selon la conception qu’il en a. À cette fin, l’ingénieur social doit appliquer les lois de la société comme l’ingénieur mécanicien suit les lois de la nature. La théorie comportementale a atteint un stade de connaissance qui rend possible les rêves de l’ingénierie sociale. Les machinations de l’ingénierie sociale n’opèrent pas par la force brute, mais subtilement par des coups de pouce.

Selon l’ordre envisagé par le « Grand Reset », le progrès technologique n’est pas destiné à servir l’amélioration des conditions du peuple mais à soumettre l’individu à la tyrannie d’un État technocratique. « Les experts savent mieux », telle est la justification.

Ordre du jour

Le projet de refonte du monde est le fruit de l’imagination d’un groupe d’élite d’hommes d’affaires, de politiciens et de leur entourage intellectuel qui se réunissait chaque année en janvier à Davos, en Suisse. Créé en 1971, le Forum économique mondial est devenu depuis lors un événement méga-mondial. En 2020, plus de trois mille dirigeants du monde entier ont participé à la réunion.

Sous la direction du WEF, l’agenda du Grand Reset indique que l’achèvement de la transformation industrielle actuelle nécessite une révision en profondeur de l’économie, de la politique et de la société. Une telle transformation globale nécessite l’altération du comportement humain, et donc la « transhumanisation » fait partie du programme.

Le Grand Reset sera le thème de la cinquante et unième réunion du Forum économique mondial de Davos en 2021. Son ordre du jour est l’engagement à faire évoluer l’économie mondiale vers « un avenir plus juste, plus durable et plus résistant ». Le programme appelle à un « nouveau contrat social » centré sur l’égalité raciale, la justice sociale et la protection de la nature. Le changement climatique nous oblige à « décarboner l’économie » et à mettre la pensée et le comportement humains « en harmonie avec la nature ». L’objectif est de construire « des économies plus égales, plus inclusives et plus durables ». Ce nouvel ordre mondial doit être mis en œuvre « d’urgence », affirment les promoteurs du WEF, et ils soulignent que la pandémie « a mis à nu la non-durabilité de notre système », qui manque de « cohésion sociale ».

Le projet de Grand Reset du WEF est de l’ingénierie sociale au plus haut niveau. Les partisans du Reset affirment que l’ONU n’a pas réussi à établir l’ordre dans le monde et n’a pas pu faire avancer avec force son programme de développement durable – connu sous le nom d’Agenda 2030 – en raison de sa manière bureaucratique, lente et contradictoire de travailler. En revanche, les actions du comité d’organisation du Forum économique mondial sont rapides et intelligentes. Lorsqu’un consensus a été formé, il peut être mis en œuvre par l’élite mondiale partout dans le monde.

Ingénierie sociale

L’idéologie du Forum économique mondial n’est ni de gauche ni de droite, ni progressiste ni conservatrice, elle n’est pas non plus fasciste ou communiste, mais carrément technocratique. En tant que telle, elle reprend de nombreux éléments des idéologies collectivistes antérieures.

Au cours des dernières décennies, un consensus s’est dégagé lors des réunions annuelles de Davos sur le fait que le monde a besoin d’une révolution et que les réformes ont pris trop de temps. Les membres du WEF envisagent un profond bouleversement à brève échéance. Le délai devrait être si court que la plupart des gens auront du mal à se rendre compte qu’une révolution est en cours. Le changement doit être si rapide et si spectaculaire que ceux qui reconnaissent qu’une révolution est en cours n’auront pas le temps de se mobiliser contre elle.

L’idée de base de la Grand Reset est le même principe qui a guidé les transformations radicales de la Révolution française à la Révolution russe et chinoise. C’est l’idée du rationalisme constructiviste incorporé dans l’État. Mais des projets comme le Grand Reset laissent sans réponse la question de savoir qui dirige l’État. L’État lui-même ne gouverne pas. C’est un instrument de pouvoir. Ce n’est pas l’État abstrait qui décide, mais les dirigeants de partis politiques spécifiques et de certains groupes sociaux.

Les régimes totalitaires précédents avaient besoin d’exécutions massives et de camps de concentration pour maintenir leur pouvoir. Aujourd’hui, grâce aux nouvelles technologies, on pense que les dissidents peuvent être facilement identifiés et marginalisés. Les non-conformistes seront réduits au silence en disqualifiant les opinions divergentes comme étant moralement méprisables.

Le confinement de 2020 offre peut-être un aperçu du fonctionnement de ce système. Le confinement a fonctionné comme s’il avait été orchestré – et c’est peut-être le cas. Comme s’ils avaient suivi un seul commandement, les dirigeants de grandes et de petites nations – et de différents stades de développement économique – ont mis en œuvre des mesures presque identiques. Non seulement de nombreux gouvernements ont agi à l’unisson, mais ils ont également appliqué ces mesures sans se soucier des conséquences horribles d’un confinement mondial.

Des mois d’immobilité économique ont détruit la base économique de millions de familles. Associé à l’éloignement social, le confinement a produit une masse de personnes incapables de prendre soin d’elles-mêmes. D’abord, les gouvernements ont détruit les moyens de subsistance, puis les politiciens se sont présentés comme les sauveurs. La demande d’aide sociale n’est plus limitée à des groupes spécifiques, mais est devenue un besoin des masses.

 

Autrefois, la guerre assurait la cohésion de l’État. Aujourd’hui, c’est la peur de la maladie. Ce qui nous attend, ce n’est pas l’apparente convivialité d’un État providence global et bienveillant, avec un revenu minimum garanti, des soins de santé et une éducation pour tous. Le confinement et ses conséquences ont donné un avant-goût de ce qui nous attend : un état de peur permanent, un contrôle comportemental strict, des pertes d’emploi massives et une dépendance croissante vis-à-vis de l’État.

Avec les mesures prises à la suite de la pandémie de coronavirus, un grand pas a été fait pour remettre l’économie mondiale sur les rails. Sans résistance populaire, la fin de la pandémie ne signifiera pas la fin du confinement et de la distanciation sociale. Toutefois, à l’heure actuelle, les opposants au nouvel ordre mondial de la tyrannie numérique ont toujours accès aux médias et aux plateformes pour exprimer leur désaccord. Pourtant, le temps presse. Les auteurs du nouvel ordre mondial ont senti l’odeur du sang. Déclarer le coronavirus comme une pandémie s’est avéré utile pour promouvoir le programme du Grand Reset. Seule une opposition massive peut ralentir et enfin arrêter l’extension de l’emprise de la technocratie tyrannique qui monte.

Antony P. Mueller

Le Dr Antony P. Mueller est un professeur d’économie allemand qui enseigne actuellement au Brésil. Consultez son site web et son blog.

COVID is Cover for Tracking People Like Livestock

"It's not just air travel that the Rockefeller Foundation and the World Economic Forum intend to regulate. In their imagined future, presentation of tokenized credentials will be required to go to work, to school, to the store, to access public buildings and events."
 "Freedom" will depend on your acceptance of the COVID hoax and the dystopian program that goes with it. Objectors will be deemed to have the virus and be interned.  It takes a special kind of mad man -- a satanist -- to want to destroy the lives of innocent people. It takes a special kind of moral coward -- our politicians, law enforcement, and media -- to implement this perverse agenda.

COVID is Cover for Tracking People Like Livestock : Henry Makow's official web site. Exposing Feminism and the New World Order

PIERRE HILLARD : NAISSANCE DE l'OLIGARCHIE , TOUT BONNEMENT INCROYABLE

SPREAD THE TRUTH 777: Les technologies de contrôle des masses et des ind...

manchrian
On va parler aujourd’hui de quelques brevets pour des armes dites « non létales », destinées à modifier le comportement humain. Cela fait plus de 50 ans que différentes armées travaillent à des armes utilisant des ondes magnétiques pour influer sur le comportement d’une foule, d’une ville, voir d’un Etat entier.

Les technologies de contrôle des masses et des individus sont déjà au point depuis des dizaines d’années, depuis l'époque de Nicola Tesla, déjà.
Ces armes ont déjà été utilisées à de nombreuses reprises, dans le cadre de guerres ou de conflits internes.
Il faut aussi savoir qu’on a cartographié les réactions du cerveau en fonction des fréquences des différentes émotions, pensées, comportements. On sait ainsi quelles ondes il faut envoyer, à quelle fréquence et quelle amplitude, pour obtenir une réaction précise chez une personne cible ou chez un groupe d’individus. En 1961, on savait déjà, par exemple, qu’il était possible de provoquer de la tachycardie en envoyant des micro ondes à un sujet. Depuis, les armes à énergie dirigée sont nec plus ultra du contrôle mental.
SPREAD THE TRUTH 777: Les technologies de contrôle des masses et des ind...

John Hall - Vaccines Cause Diseases They “Prevent”


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"the violence of mechanized warfare had claimed 
20 to 25 million victims while the Spanish Flu killed
50 to 100 million worldwide.  There are extremely 
good reasons to believe that the "jab" 
was the cause of the disease..."

"... We all need to face the fact... that we're under attack by our own government.  Don't cry about it, Democrats!  And, yes, it's true Republicans!  Your beloved party leaders are ALL cooperating with the WHO and various United Nations organizations in implementing the Great Global Reset agenda of the Davos Despots." 
John Hall - Vaccines Cause Diseases They “Prevent”: Henry Makow's official web
site. Exposing Feminism and the New World Order

La démocratie contre le peuple

The Science is Conclusive: Masks and Respirators do NOT Prevent Transmission of Viruses -- Science & Technology -- Sott.net

Comment :The following review of the scientific literature on wearing surgical and other facemasks as a means of preventing the transmission of SARS-CoV-2 and thus preventing contraction of 'Covid-19' was published a month ago. And absent some miraculous suspension of decades of hard science on the transmission of viruses, it's settled...



Masks and respirators do not work. There have been extensive randomized controlled trial (RCT) studies, and meta-analysis reviews of RCT studies, which all show that masks and respirators do not work to prevent respiratory influenza-like illnesses, or respiratory illnesses believed to be transmitted by droplets and aerosol particles.

Furthermore, the relevant known physics and biology, which I review, are such that masks and respirators should not work. It would be a paradox if masks and respirators worked, given what we know about viral respiratory diseases: The main transmission path is long-residence-time aerosol particles (< 2.5 μm), which are too fine to be blocked, and the minimum-infective-dose is smaller than one aerosol particle.

The present paper about masks illustrates the degree to which governments, the mainstream media, and institutional propagandists can decide to operate in a science vacuum, or select only incomplete science that serves their interests. Such recklessness is also certainly the case with the current global lockdown of over 1 billion people, an unprecedented experiment in medical and political history.


The Science is Conclusive: Masks and Respirators do NOT Prevent Transmission of Viruses -- Science & Technology -- Sott.net: https://www.sott.net/article/434796-The-Science-is-Conclusive-Masks-and-Respirators-do-NOT-Prevent-Transmission-of-Viruses

Covid-19: Le jeu des chiffres: La « deuxième vague » est basée sur des statistiques « fake »

Le test d’amplification en chaîne par polymérase à transcription inverse (RT-PCR)
Le test standard utilisé pour détecter/identifier le SRAS-2 adopté dans de nombreux pays est le test d’amplification en chaîne par polymérase à transcription inverse (RT-PCR), qui est utilisé pour estimer et compiler le nombre de cas positifs confirmés de Covid-19. (Ce n’est pas le seul test utilisé. Les observations ci-dessous concernent uniquement le test PCR standard).
Selon le Dr Kary Mullis, lauréat du prix Nobel, qui a inventé le test PCR :
« La PCR détecte un très petit segment de l’acide nucléique qui fait partie d’un virus lui-même. Le fragment spécifique détecté est déterminé par le choix quelque peu arbitraire des amorces d’ADN utilisées qui deviennent les extrémités du fragment amplifié ».
Le test PCR n’a jamais été destiné à identifier le virus.
« La détection des virus par PCR est utile pour autant que l’on puisse en comprendre la précision : elle offre la capacité de détecter l’ARN en quantités infimes, mais il n’est pas toujours évident de savoir si cet ARN représente un virus infectieux » (voir aussi le rapport du Lancet)
Le test PCR standard appliqué en relation avec Covid-19 ne détecte ni identifie le virus. Ce qu’il détecte, ce sont des fragments de plusieurs virus. Selon le Dr B. Stadler, immunologiste suisse de renom
Ainsi, si nous faisons un test PCR corona sur une personne immunisée, ce n’est pas un virus qui est détecté, mais une petite partie brisée du génome viral. Le test est positif tant qu’il reste de minuscules fragments de virus. Même si les virus infectieux sont morts depuis longtemps, un test corona peut revenir positif, car la méthode PCR multiplie même une infime partie du matériel génétique viral suffisamment [pour être détectée].
Selon le Dr Pascal Sacré, « ces tests détectent des particules virales, des séquences génétiques, et non le virus entier ».
Cela signifie que le test PCR ne peut pas détecter ou identifier le SRAS-CoV-2. Ce qu’il détecte, ce sont des fragments, ce qui suggère qu’un test PCR standard « positif » ne peut être assimilé à un test dit « Covid-19 positif ».
Le test PCR détectera des fragments de plusieurs virus, y compris les virus corona et la grippe (virus de la grippe A et B)
Si le SRAS-2, qui provoque le Covid-19, est considéré comme similaire au SRAS-CoV-1, il présente des symptômes similaires à ceux de la grippe saisonnière (virus A et B). En outre, certains de ses symptômes plus légers sont similaires à ceux des virus de la corona du rhume. Selon le CDC : « Parfois, les sécrétions respiratoires sont testées pour déterminer quel germe spécifique est à l’origine de vos symptômes. Si vous êtes infecté par un coronavirus commun (229E, NL63, OC43 et HKU1), cela ne signifie pas que vous êtes infecté par le nouveau coronavirus 2019 ».
Selon le CDC, il existe « sept coronavirus [humains] qui peuvent infecter les gens », dont les quatre premiers (alpha, bêta) sont associés au rhume.
Covid-19: Le jeu des chiffres: La « deuxième vague » est basée sur des statistiques « fake »

AVIS