Les dangers des médicaments et des substances chimiques présentes dans notre alimentation sont bien plus graves qu’on ne le pense. Certains traitements contiennent des perturbateurs endocriniens, capables de dérégler le système hormonal et de provoquer des pathologies lourdes. Un exemple marquant est le Distilbène, prescrit dès les années 1950 pour prévenir les fausses couches. Pourtant, ce médicament n’a jamais prouvé son efficacité et a causé des dommages irréversibles chez près de 10 millions de femmes, affectant leur fertilité et leur santé.
Mais le plus inquiétant, c’est que ses effets se sont transmis à leurs enfants et petits-enfants, entraînant des malformations, des cancers, et d’autres maladies qui continuent de se manifester 70 ans après. Un véritable scandale sanitaire, malheureusement encore méconnu.
Ce problème se retrouve dans l’élevage industriel. Les hormones de croissance utilisées chez les veaux et les poulets posent des questions sanitaires tout aussi graves. Depuis les années 1980, leur usage massif a créé un scandale, mais les autorités continuent de fermer les yeux. Aujourd’hui, des traités comme le CETA entre l’UE et le Canada permettent encore l’importation de viandes traitées aux hormones, malgré les risques pour les consommateurs.
Pire encore, de nouvelles pratiques apparaissent, telles que les vaccins hormonaux pour castrer les porcs, toujours sans cadre réglementaire clair. Les autorités sanitaires restent passives, laissant les intérêts économiques dominer. Combien de temps encore accepterons-nous de sacrifier la santé publique pour le profit ?...
https://www.youtube.com/live/VtbnKHD_554?si=zCrta7Svr8Wu-L8C