Le 10 décembre 1948, après la seconde guerre mondiale et la découverte de l’horreur des crimes commis par Hitler arrivé légitimement au pouvoir par le jeu des urnes est promulguée par l’ONU la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme dont le fondement est la défense et le respect de la dignité de la personne et de la loi naturelle. Grand moment de l’Histoire où la Démocratie trouvera là l’une de ses meilleures expressions.
L’ONU dès 1989, c’est-à-dire dès la chute du mur de Berlin, prétendant qu’elle avait reçu un mandat éthique et jouissait d’une autorité morale universelle seprésenta comme la seule institution capable de rendre la mondialisation humaine, éthique et durable. Dans ce monde crépusculaire qui marche sur la tête, de nombreux organismes onusiens, faisant fi des gouvernements nationaux, distillent le poison destructeur de l’idéologie totalitaire du Gender.