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DESCRIPTIONS

Il faut prévenir les hommes qu'ils sont en danger de mort - la science devient criminelle !...
Albert Einstein

Entre cet 'avertissement' et la 'constatation' suivante - se trouve le fond du problème.


L' ENFER c'est les AUTRES !...

Jean Paul Sartre

Quand aux trop nombreux 'sceptiques' qui paralysent toute démarche 'libératrice' - sachez que le peu que je sais_ c'est à mon ignorance que je le dois !..

La population, le corps médical, le gouvernement

La population, le corps médical, le gouvernement: Voilà trois concepts qui paraissent très clairs au premier abord mais qui, étant donné la situation aigüe que nous traversons, deviennent trois...

Claire Séverac balance tout sur la vaccination et compagnie

Dr Michaela Huber sur le MK : Contrôle Mental basé sur les traumatisme...





http://mk-polis2.eklablog.com/
Source : “Wir sind die Nicki(s)” :
https://www.youtube.com/watch?v=SNv6V...
La psychothérapeute/traumatologue allemande Michaela Huber décrit ici les méthodes de programmation mentale sur les enfants dissociés, victimes des réseaux pédocriminels de type sataniques/lucifériens.
Dans un de ses ouvrages, la psychotraumatologue allemande Michaela Huber donne sa définition de ce type de programmation mentale : "La programmation dans le contexte traumatique est un processus que l'on peut décrire comme un apprentissage sous la torture. La métaphore "programmation" est certainement d’origine informatique et représente dans ce contexte, ce que les psychologues appellent un conditionnement. Ce qui veut dire que la personne qui a été "programmée" doit réagir de manière stéréotypée à certains stimuli. La réaction de la personne à un stimulus est dans ce cas automatique, donc il ne s’agit ni d’un réflexe naturel ni d’une réaction consciente et volontaire. Pour arriver à ses fins, "le programmeur" que j’appellerai le bourreau a utilisé le fait que sa victime soit un jeune enfant, de préférence déjà dissocié (à la personnalité fractionnée) pour effectuer l’apprentissage en le torturant. La torture peut comprendre des abus physiques, sexuels, émotionnels et souvent on menace la victime qu’elle va mourir si elle n’est pas obéissante. Une fois qu’une victime a été programmée, il est possible de la contrôler avec les stimuli qu’on lui a "implanté" (ce sont les 'triggers' ou déclencheurs). Une personnalité alter qui a été programmée n’est généralement pas une identité complexe et pour cela on l’appelle aussi "programme". Généralement, cette personne a été programmée pour servir à certaines fins: se prostituer pour enrichir le maître, voler, faire de la contrebande de drogues, etc. À l’aide de la programmation le maître peut également s’assurer que la victime soit amnésique concernant les abus et la programmation, il peut également faire en sorte que la victime commette un suicide lorsqu'elle est sur le point de dénoncer ses bourreaux."

Lorsque des auteurs juifs définissent le racisme

Cet avis a été célébré à l’époque comme une victoire pour la liberté d’expression, et a ouvert la voie à un déluge ultérieur de dégradation culturelle occidentale. Mais ce qui est encore plus important, c’est que, près de 60 ans plus tard, “je le sais quand je le vois” est devenu une philosophie politique à part entière, adoptée et poursuivie par une gauche radicale qui entend restreindre cette même liberté en revendiquant une capacité exclusive et inexplicable à définir le fascisme. C’est le message le plus frappant du récent Irish Antifa Project sans précédent de The Burkean , qui a été conçu pour infiltrer et exposer les prétendus réseaux antifas dans le milieu universitaire et politique irlandais.
À mon avis, la révélation la plus prévisible du Irish Antifa Project a été l’étendue de l’ignorance historique et culturelle des militants profilés. Aucun des individus intellectuellement et professionnellement médiocres exposés par The Burkean’s ne semblait capable d’articuler ce que le fascisme était, ou est supposé être aujourd’hui. Le fascisme semble plutôt avoir été adopté par ces non-entités comme un vague fourre-tout pour tout ce qui touche au capitalisme, au conservatisme, à la religion ou à la tradition. Tout aussi vagues sont les méthodes proposées par ces individus, qui vont de la compilation de bases de données avec les noms de ceux qui sont considérés comme fascistes, à un soutien timide mais indéniable à la violence. À l’exception d’un petit nombre de juifs fanatiques comme Jacob Woolf, étudiant au Trinity College, l’”antifascisme” a manifestement été adopté par la majorité des personnes concernées comme une sorte de vertu tiède signalant un hobby ou un rôle politique, bien qu’ayant un sinistre potentiel.


Lorsque des auteurs juifs définissent le racisme

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