Commentaire : Sur Sott, nous soutenons l'idée, depuis plusieurs années déjà, que la psychopathie est un mal réel et plus répandu qu'on ne le croit. Que cette empreinte psychopathique s'est toujours fait sentir au fil de l'Histoire de l'Humanité, et que présentement, son influence atteint un niveau paroxystique inégalé. Il n'y a pas de catégorie, de caste, de peuple, de genre, de type, de profession, d'activité, de clan, de communauté ou de société qui ne soit épargné. Le psychopathe a ses domaines de prédilection : la politique, le grand (ou petit) banditisme, les guerres et le commerce, par exemple.
Le domaine de la science est lui aussi concerné, ce qui, au premier abord, pourrait surprendre. Nous avons tous ancrée en nous cette image d'Épinal du scientifique intègre, se dévouant corps et âme à son activité, pour le plus grand bien de l'humanité. Un cliché bien éloigné de la réalité. Dans son dernier billet, le Dr Sircus signale, à propos de la définition du sociopathe et du psychopathe faite par la revue Medical daily :
C'est une description parfaite des médecins conventionnels d'aujourd'hui qui agissent comme des dieux, ivres de leur puissance. Le dénominateur commun entre les médecins et les sociopathes sont des traits de caractère tels que le charme superficiel, un sens exagéré de sa propre importance, du bagout, une utilisation du mensonge, un manque de remords et une tendance à la manipulation. La plupart des médecins pensent savoir, mieux que les personnes directement concernées, comment celles-ci doivent vivre et finir leur vie.